La formation professionnelle, clé du développement économique africain · Le cas du Burkina Faso

Michel Courcelle, expert associé à l’Institut Thomas More, qui pilote la première phase du projet et réalise l’étude de préfiguration des formations, nous explique sa démarche et fait un point sur l’avancée du projet

11 octobre 2011 • Vidéo •


Dans le cadre des accords signés entre le Burkina Faso et la France pour une gestion concertée des flux migratoires, l’Institut Thomas More est partenaire de l’Institut International d’ingénierie de l’eau et de l’environnement de Ouagadougou, pour la mise en place de nouvelles formations à destination des jeunes diplômés africains, en Afrique, pour l’Afrique. L’enjeu de la formation professionnelle est désormais majeure en Afrique. La philosophie générale du projet est d’identifier des secteurs d’activités porteurs, en vue de former des jeunes à des métiers d’avenir et répondant aux vrais besoins des entreprises, et de contribuer à réduire l’hémorragie d’étudiants qui, par manque de formation adaptée et d’universités compétentes, quittent leur pays afin d’obtenir une meilleure formation et par la suite un emploi.