Des femmes et des hommes qui s’engagent pour les idées de liberté et de responsabilité, de dignité de la personne, de subsidiarité et pour la défense des valeurs universelles qui sont l’héritage commun des pays européens.

Christian Boon Falleur, président de l’Institut Thomas More

Ingénieur Civil Mécanicien de l’Université Catholique de Louvain et Postgraduaat in Bedrijfsbeheer de la Katholieke Universiteit Leuven, Christian Boon Falleur a accompli le début de sa carrière au sein de la holding Ackermans & Van Haaren (1972–2000), successivement en charge de différents secteurs d’activité du groupe en tant que directeur et membre du comité de direction à partir de 1989. Depuis 2000, il exerce différents mandats d’administrateur de sociétés et d’associations. Il est en particulier administrateur délégué du groupe international AF Compressors.

Enguerrand Delannoy

Diplômé de l’ISC Paris, Enguerrand Delannoy a commencé sa carrière dans l’audit, chez Grant Thornton puis chez Ernst & Young. De 2004 à 2010, il est conseiller parlementaire du Rapporteur Général du budget à l’Assemblée nationale. Il travaille ensuite en cabinet ministériel jusqu’en 2012. Cofondateur de La Boîte à idées, il crée une entreprise de 2012 à 2017. Maire de Saint-Pierre-de-Maillé (Vienne) depuis 2014, ancien auditeur jeune à l’Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale (IHEDN), il travaille au cabinet de la Présidente de la région Île-de-France.

Nadia Everard

De nationalité belge, Nadia Everard est diplômée d’un Master d’architecture de la London Metropolitan University. À son retour à Bruxelles, elle fonde et dirige La Table Ronde de l’Architecture, centre de réflexion sur l’architecture, l’urbanisme et l’avenir des villes. La TRA est désormais l’antenne belge du réseau international INTBAU (International Network for Traditional Building, Architecture and Urbanism). L’association rassemble désormais plus de 500 membres et un vaste réseau autour de deux missions principales : l’école d’été d’architecture de Belgique, où l’association forme pendant un mois des étudiants venus du monde entier à une architecture belle, humaine et durable, et la sensibilisation du personnel politique aux principaux enjeux de l’architecture (la pérennité du bâti et l’embellissement des villes). Nadia collabore avec l’architecte luxembourgeois Colum Mulhern à la conception de projets urbains et architecturaux.

Christiane de Livonnière, vice-présidente

Après des études d’histoire à l’Institut Catholique de Paris et d’anglais à l’Institut britannique, Christiane de Livonnière dirige le service de communication de l’UDF présidée par Jean Lecanuet (1978-1984). Attachée parlementaire de François d’Aubert à l’Assemblée Nationale (1984-1995), elle est nommée chef de cabinet du Ministre du Budget puis du Ministre de la Recherche (1995-1997). Elle dirige aujourd’hui Lafitte Conseil (anciennement Intelstrat), cabinet de conseil en stratégie.

Philippe Maze-Sencier

Philippe Maze-Sencier est diplômé d’un mastère en relations internationales de la Georgetown University et titulaire d’un MA de la Cambridge University. Il est aujourd’hui Président Affaires publiques mondiales chez Hill+Knowlton Strategies, basé à Bruxelles. Il a commencé sa carrière en France et en Allemagne au sein du groupe LVMH. En 2001, il rejoint le bureau parisien de la société de conseil en affaires publiques APCO Worldwide avant de rejoindre son siège européen à Bruxelles. Il a ensuite passé près de deux ans chez EADS, avant de prendre la direction du bureau parisien d’APCO. Puis il prend la direction opérationnelle de la zone Afrique, Inde, Moyen-Orient pour APCO puis devient le directeur général du bureau de Bruxelles d’APCO à Bruxelles. En 2014, il rejoint le bureau de Washington pour diriger le département Global Government Relations d’APCO. De 2015 à 2020, il est directeur Affaires publiques puis directeur exécutif du bureau Europe de McLarty Associates. Il est cofondateur de l’association ProEuropa. Il est par ailleurs officier de réserve de l’armée française et a participé à plusieurs opérations en Afrique.

Charles Millon

Elu député de l’Ain en 1978, vice-président de l’Assemblée nationale de 1986 à 1988, président du groupe UDF de 1989 à 1995, Charles Millon a été ministre de la Défense de 1995 à 1997. Maire de Belley de 1977 à 2001, il a également été président du Conseil régional de Rhône-Alpes de 1988 à 1999. De 2003 à 2007, il a été ambassadeur représentant la France auprès de la FAO à Rome.

Pascal de Roubaix, vice-président

Licencié en Droit, Pascal de Roubaix commence sa carrière dans une société financière et découvre la politique en 1978. Député au Parlement belge de 1981 à 1985, il devient partenaire dans un bureau de RH et de recrutement en 1987. Il fonde le cabinet Criterium en 1999. Toujours passionné par le débat public, il initie en 2004 la création de l’Institut Thomas More. En 2009, il a publié Mes sentiers de liberté (ed. du Beffroi). Il anime le blog d’actualité Le Beffroi.

Sébastien Aguettant, président du groupe Delpharm

Sébastien Aguettant a rejoint l’industrie de la santé après des études de droit (droit des affaires, DESS de fiscalité) et d’économie (ISC). Il a fait toute sa carrière dans la sous-traitance pharmaceutique, comme responsable commercial chez Delmas, puis directeur d’usine chez Delpharm avant d’en prendre la direction générale en 2004 et la présidence en 2010. Il est également président du Conseil de surveillance du Laboratoire Aguettant, laboratoire familial de 110 ans d’ancienneté spécialisé dans les produits injectables au service des patients. Il est aussi actif au sein de l’association des laboratoires de l’industrie pharmaceutique (Leem) et du SPIS (Syndicat Professionnel des Industriels sous-traitant de la Santé).

Charles Beigbeder, président d’Audacia

Charles Beigbeder est un entrepreneur engagé dans la vie publique. Ingénieur centralien, il a fondé et développé plusieurs entreprises dans les secteurs de l’énergie, de l’agriculture et de l’Internet. Il dirige aujourd’hui le holding Gravitation et le fonds Audacia. Il a par ailleurs été impliqué dans le monde patronal, où il a été président de CroissancePlus (2004-2005) et président de la Commission Entrepreneuriat du Medef. Il a été conseiller municipal dans le 8e arrondissement de Paris. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont Puisque c’est impossible, faisons-le (JC Lattès, 2012), Merci Patrons ! Créer son entreprise, c’est créer des emplois (Librio, 2015) et Charnellement de France (en collaboration avec Benoît Dumoulin, éditions Pierre-Guillaume de Roux, 2016).

Jean de Belot, ancien directeur de la rédaction du Figaro

Diplômé du Centre de formation des journalistes et en droit des affaires, Jean de Belot a commencé sa carrière comme journaliste à La Tribune de l’Économie puis grand reporter au Figaro. Il rejoint Les Échos en 1990 et en devient rédacteur en chef en 1992. En 1998, il devient rédacteur en chef des pages économiques du Figaro puis directeur de la rédaction. Il a été chroniqueur sur RTL et LCI. Il intervient régulièrement sur BFM. Entre 2005 et 2007, il a été vice-président-partner de Euro-RSCG C&O. Depuis 2008, il anime le cabinet Aria Partners qui fédère des expertises en affaires publiques, communication sensible et conseil.

Étienne Blanc, sénateur du Rhône

Titulaire d’un diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS) de droit judiciaire privé de l’université Lyon III, Étienne Blanc est avocat. Il a été maire de Divonne-les-Bains (Ain) de 1991 à 2019. Il a été conseiller régional de Rhône-Alpes de 1992 à 2002, puis député de l’Ain de 2002 à 2016. Après la fusion des régions, il devient conseiller régional de la région Auvergne-Rhône-Alpes en 2015, premier vice-président de la région de 2016 à 2020. Il est aujourd’hui sénateur du Rhône et conseiller municipal de Lyon.

Rémi Brague, de l’Institut

Ancien élève l’École Normale Supérieure (1967), agrégé de Philosophie (1971), Docteur de 3e cycle de l’Université Paris-Sorbonne (1976) et Docteur ès-Lettres (État) de l’Université Paris-Sorbonne (1986), Rémi Brague enseigne d’abord en lycée technique, avant de se consacrer à la recherche au sein du CNRS. Il est professeur à l’Université de Bourgogne de 1988 à 1990. Professeur à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne de 1990 à 2012, où il a dirigé le centre de recherche « Tradition de la pensée classique », il a également longtemps enseigné à la Ludwig-Maximilian-Universität de Munich (Allemagne). Il a été également John Findlay Visiting Professor à l’Université de Boston (États-Unis) en 1995 et 2001. Son domaine d’étude est large : philosophie grecque, philosophies médiévales juive et arabe. Il a été élu membre de l’Académie des Sciences Morales et Politiques en 2009. Il a publié des ouvrages majeurs comme Aristote et la question du monde (PUF, 1988), Europe, la voie romaine (Criterion, 1992, 3e édition, Gallimard, Folio, 1999), La Sagesse du monde. Histoire de l’expérience humaine de l’univers (Fayard, 1999), La Loi de Dieu. Histoire philosophique d’une alliance (Gallimard, 2005), Du Dieu des Chrétiens et d’un ou deux autres (Flammarion, 2008), Le propre de l’homme. Sur une légitimité menacée (Flammarion, 2013), Modérément moderne (Flammarion, 2014), Le Règne de l’homme. Genèse et échec du projet moderne (Gallimard, 2015), Sur la religion (Flammarion, 2018), Des vérités devenues folles (Salvator, 2019) et Sur l’islam (Gallimard, 2023).

Jean de Codt, ancien président de la Cour de cassation de Belgique

Licencié en droit de l’Université Catholique de Louvain, licencié en criminologie de la Vlaams Universiteit Brussel, Jean de Codt est aussi bachelier en philosophie. Après son stage d’avocat au barreau de Bruxelles, il est juriste d’entreprise avant d’entrer au parquet de Tournai en 1983. En 1986, il est substitut du procureur du Roi de Bruxelles. En 1993, il devient substitut du procureur général. Le 20 mai 1997, il est nommé conseiller à la Cour de cassation puis président de la chambre pénale de la Cour. De 2014 à 2019, il est Premier Président de la cour de Cassation. Il a également enseigné également aux Facultés universitaires Saint Louis, à l’École régionale et intercommunale de police et à la Haute École Paul-Henri Spaak. Enfin, il est également vice-président à la Cour de Justice Bénélux et président de la chambre française du Conseil national de discipline de l’ordre judiciaire.

Anne Coffinier, présidente de Créer son école

Diplômée de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, ancienne élève de l’École Normale Supérieure (1998) et de l’École Nationale d’Administration (2000-2002), lauréate du programme du State Department « International Visitors Leadership Program  » en 2008, Anne Coffinier a commencé sa carrière comme diplomate au Ministère des Affaires étrangères (Direction d’Afrique et de l’Océan Indien et Direction de la Coopération européenne). Serial entrepreneuse dans le domaine de la défense et de la promotion des écoles indépendantes, elle a fondé l’association Créer son école (2004) et l’Institut libre de formation des maîtres (2007). Elle est à l’origine de la Fondation pour l’école (2008) et de 14 autres fondations abritées en France et à l’étranger dans le domaine des écoles libres. Défenseur reconnu de la liberté d’enseignement, elle préside aujourd’hui l’association Créer son école et administre la Fondation Kairos pour l’innovation éducative-Institut de France.

Yves d’Amécourt, viticulteur

Ingénieur de l’école des mines d’Alès, Yves d’Amécourt a été durant dix ans consultant dans l’industrie, les services et l’administration. En 1998 il reprend la gestion du domaine viticole familial en Gironde et en Dordogne. De 2002 à 2006, il devient secrétaire général du syndicat des viticulteurs de l’AOC Bordeaux. Il est élu conseiller général de la Gironde (2004-2015), maire de Sauveterre-de-Guyenne (2008-2020), président de la communauté de commune rurales de l’Entre-deux-Mers (2008-2020) et conseiller régional de Nouvelle-Aquitaine (2015-2021). Il participe à l’élaboration du programme de François Fillon pour les primaires puis les élections présidentielles de 2017, avant d’en devenir le porte-parole pour les questions agricoles et rurales. Il est membre du collège scientifique de l’Observatoire Français des Corps Intermédiaire (OFCI). Il intervient régulièrement dans les médias et a participé à l’écriture de l’ouvrage collectif Le retour des corps intermédiaires (Fauves éditions, 2020).

S.A.S. duc (Léopold) d’Arenberg, administrateur-délégué de la Fondation d’Arenberg

Licencié en droit de l’Université Catholique de Louvain (1979) et titulaire d’une Maîtrise en Gestion d’Entreprise de l’Université de Lausanne (1988), S.A.S. le duc d’Arenberg a commencé sa carrière dans la banque puis s’est engagé dans l’immobilier et le capital-risque aux États-Unis et en Europe. Il a été conseiller d’Ambassade de l’Ordre Souverain de Malte au Tchad de 1991 à 2003 et Ambassadeur de l’Ordre Souverain de Malte au Portugal de 2003 à 2008. Actuellement, il apporte son soutien à Azalea Charities, une association caritative basée en Virginie qui vient en aide aux familles des blessés de guerre américains. Depuis 2010, il est Administrateur-Délégué de la Fondation d’Arenberg qui œuvre à la promotion de l’histoire et de la culture européennes, du dialogue entre les différentes cultures européennes et à l’encouragement à une prise de conscience pan-européenne des racines des peuples d’Europe.

Chantal Delsol, de l’Institut

Élève et disciple de Julien Freund, Chantal Delsol prépare avec lui sa thèse d’État ès-Lettres en philosophie, qu’elle soutient à la Sorbonne en 1982. Maître de conférences à l’université de Créteil en 1988, elle devient professeur à l’université de Marne-le-Vallée en 1992. Elle fonde en 1993 dans le cadre universitaire l’Institut de recherche Hannah Arendt, dont la vocation est notamment d’explorer les rencontres entre les pensées occidentale, centrale et orientale de l’Europe. De 2008 à 2017, elle a dirigé l’Observatoire de la Modernité au Collègue des Bernardins. Elle a été élue membre de l’Académie des Sciences Morales et Politiques en 2007. Elle est éditorialiste au Figaro. Elle est l’auteur de livres majeurs comme L’État subsidiaire (PUF, 1992), L’Irrévérence. Essai sur l’esprit européen (Mame, 1993), Éloge de la Singularité. Essai sur la modernité tardive (La Table Ronde, 2000), La République. Une question française (PUF, 2002), L’Âge du renoncement (Éd. du Cerf, 2011), Populisme. Les Demeurés de l’histoire (Le Rocher, 2015), La Haine du monde. Totalitarismes et postmodernité (Éd. du Cerf, 2016), La démocratie dans l’adversité (dir., Éd. du Cerf, 2019), Le Crépuscule de l’universel (Éd. du Cerf, 2020) et La Fin de la Chrétienté (Éd. du Cerf, 2021).

Gérard-François Dumont, professeur émérite à l’Université de Paris-Sorbonne, président de Population & Avenir

Licencié en sciences économiques (1970), diplômé de l’Institut d’administration des entreprises de Poitiers (1970), diplômé d’études supérieures de sciences économiques (1971), diplômé de Sciences-Po Paris (1973) et docteur ès sciences économiques (1973), Gérard-François Dumont est un disciple d’Alfred Sauvy. Élu Professeur à l’Université Paris-Sorbonne en 1988, il a été directeur de l’Institut d’urbanisme et d’aménagement de la Sorbonne de 1991 à 1996, recteur d’académie, chancelier des universités de 1996 à 1998, puis à nouveau Professeur à l’université Paris-IV, à l’Institut de géographie et d’aménagement. Géographe et démographe internationalement reconnu, il dirige la revue Population & Avenir. Il a collaboré à plus d’une centaine d’ouvrages, dont La France ridée (avec Pierre Chaunu et Alfred Sauvy, Hachette Littérature, 1986), Les migrations internationales (Sedes, 1995), Les racines de l’identité européenne (Economica, 1999), Géographie de la France (Ellipses, 2002), Les populations du monde (Armand Colin, 2004), Démographie politique. Les lois de la géopolitique des populations (Ellipses, 2007), La France en villes (Sedes, 2010), Diagnostic et gouvernance des territoires (Armand Colin, 2012) et Géopolitique de l’Europe, de l’Atlantique à l’Oural (avec Pierre Verluise, PUF, 2015, 2e édition 2016), Les territoires français : diagnostic et gouvernance (Armand Colin, 2018) et Géographie des populations. Concepts, dynamiques, prospectives (Armand Colin, 2018).

Xavier Fontanet, ancien président d’Essilor, professeur affilié de stratégie à HEC

Diplômé de l’École nationale des Ponts et chaussées et titulaire d’un Master of Science in Management au MIT de Boston, Xavier Fontanet débute sa carrière au Boston Consulting Group (1974-1981) avant d’occuper le poste de directeur général chez Bénéteau (1981-1986) puis de directeur central de la restauration et directeur général d’Eurest à la Compagnie des wagons-lits. En 1991, il est nommé directeur général du groupe Essilor, puis PDG de 1996 à 2010. Il quitte la présidence du Conseil d’administration en 2012. Il a également été président du comité d’éthique du MEDEF de 2003 à 2007. Il est aujourd’hui membre du Conseil d’administration de la Fondation Carrefour. Il enseigne la stratégie à HEC  Paris et est chroniqueur aux Echos. Il est l’auteur de Si on faisait confiance aux entrepreneurs. L’entreprise française et la mondialisation (Les Belles Lettres, 2010), 12 clés de la stratégie (ebook, 2013), Pourquoi pas nous ? (Fayard-Les Belles Lettres, 2014) et Que chacun s’y mette ! (Odile Jacob, 2016).

Olivier Grenouilleau, de l’Institut

Professeur dans le secondaire durant dix ans, docteur et habilité à diriger des recherches, Olivier Grenouilleau a été Professeur à l’Université Bretagne Sud Lorient, à l’Institut universitaire de France et à Sciences Po Paris, avant d’être inspecteur général de l’Éducation Nationale. Spécialiste de l’histoire de l’esclavage, du marché et du travail dans leurs relations à la modernité occidentale, il s’intéresse aujourd’hui à la dynamique de la modernité occidentale. il est l’auteur d’une trentaine d’ouvrages couronnés par différents prix (dont six de l’Institut de France), dont L’Argent de la traite. Milieu négrier, capitalisme et développement : un modèle (Aubier, 1996), Et le marché devint roi : essai sur l’éthique du capitalisme (Flammarion, 2013), Qu’est-ce que l’esclavage ? Une histoire globale (Gallimard, 2014), Nos petites patries. Identités régionales et État central en France, des origines à nos jours (Gallimard, 2019) et L’invention du travail (Le Cerf, 2022). Il a été élu membre de l’Académie des Sciences Morales et Politiques en 2024. Il est également membre titulaire de l’Academia Europaea, de l’Académie catholique de France, de l’Académie des sciences d’outre-mer, de l’Académie littéraire de Bretagne et des Pays de Loire.

Olivier Hanne, professeur aux Écoles militaires de Saint-Cyr Coëtquidan

Olivier Hanne est docteur en histoire et professeur agrégé. Il enseigne aux Écoles militaires de Saint-Cyr Coëtquidan ainsi que dans d’autres instituts supérieurs (Écoles de Guerre de Paris et de Yaoundé, ICES de La Roche-sur-Yon). Ses ouvrages concernent principalement le Moyen-Orient et l’islam. Il est l’auteur d’une trentaine de livres dont L’État islamique : anatomie du nouveau Califat (avec Thomas Flichy de La Neuville, Éditions Bernard Giovanangeli, 2014), La Grande Syrie, des premiers empires aux révoltes arabes (Éditions du Grenadier, 2016), Géopolitique du golfe Persique, menaces réelles et menaces perçues (Éditions du Grenadier, 2017), Les seuils du Moyen-Orient. Histoire des frontières et des territoires (Éditions du Rocher, 2017), L’Alcoran : comment l’Europe a découvert le Coran (Belin, 2019) et L’Europe face à l’Islam. Histoire croisée de deux civilisations, VIIe-XXe siècle (Tallandier, 2021).

Marwan Lahoud, associé chez Tikehau Capital

Ayant débuté sa carrière à la DGA (Délégation générale de l’armement) en 1989, Marwan Lahoud rejoint Aérospatiale en 1998 comme directeur du développement. En juin 1999, il est nommé directeur adjoint au directeur délégué chargé de la coordination stratégique de la société Aérospatiale-Matra et au directeur délégué aux Affaires militaires. À la création d’EADS en juillet 2000, il est nommé Senior Vice Président Mergers and Acquisitions, et, à ce titre, est chargé des opérations de fusions et acquisitions d’EADS, comme la création de la société Airbus, de MBDA, d’Astrium et d’EDNS. En 2003, il devient CEO de MBDA Missile Systems. En 2007, il est nommé directeur général d’EADS, devenu le groupe Airbus en 2014, chargé du marketing, de l’international et de la stratégie. Il quitte le groupe en 2017 et occupe le poste de président du conseil de surveillance d’OT-Morpho pendant deux ans. En 2018, il devient associé chez Tikehau Capital.

Bérénice Levet, philosophe

Docteur en philosophie de l’université de Caen et spécialiste d’Hannah Arendt, Bérénice Levet est enseignante à l’IRCOM (Anger). Elle collabore à de nombreux médias dont Le Figaro, Causeur ou La Revue des deux Mondes. Elle a écrit plusieurs ouvrages dont Le Musée imaginaire d’Hannah Arendt : parcours littéraire, pictural et musical de l’œuvre (Stock, 2011), La Pensée des images ; entretiens sur Dieu dans l’art (avec François Boespflug, Bayard, 2011), La Théorie du genre ou le monde rêvé des anges : l’identité sexuée comme malédiction (Grasset, 2014), Le Crépuscule des idoles progressistes (Stock, 2017), Libérons-nous du féminisme ! (Éditions de l’Observatoire, 2018), L’Écologie ou l’ivresse de la table rase (Éditions de l’Observatoire, 2022) et Le Courage de la dissidence (Éditions de l’Observatoire, 2022).

Prince Michael von Liechtenstein, président de Geopolitical Intelligence Services

Michael von Liechtenstein est administrateur de la société Biopharma Invest et Président de de la société Industrie und Finanzkontor. Passionné par les questions économiques, il est membre du conseil d’administration de l’IREF. Depuis 2011, il anime et développe Geopolitical Intelligence Services, site d’informations et d’analyses géopolitiques destinées aux chefs d’entreprise, aux cadres dirigeants et aux responsables politiques.

Louis Manaranche, co-responsable de l’Observatoire de la modernité du Collège des Bernardins

Louis Manaranche est directeur des classes préparatoires du Collège Stanislas (Paris). Ancien élève de l’École Normale Supérieure, agrégé et docteur en histoire, il s’est passionné pour les questions d’histoire politique et d’histoire des idées, en particulier de celles qui fondent la modernité. Il a également une expérience du travail de cabinet ministériel. En 2013, il a cofondé le laboratoire d’idées « Fonder Demain », attaché au renouveau des idées politiques autour de l’enseignement social de l’Église. Il est depuis 2017 co-responsable de l’Observatoire de la modernité du Collège des Bernardins. Il est l’auteur de Retrouver l’histoire (ed. du Cerf, 2015).

Hervé Mariton, ancien ministre

Hervé Mariton est ingénieur général des Mines, ancien élève de l’École polytechnique, diplômé de l’IEP de Paris, diplômé d’études approfondies de gestion de Paris IX Dauphine et lauréat du concours général de russe. Il a été député de la Drôme de 1993 à 1997 puis de 2002 à 2017. En 2007, il est ministre de l’Outre-mer dans le gouvernement de Dominique de Villepin. Il est l’auteur de rapports remarqués sur les questions de société (juillet 2009) et sur la famille (juillet 2011) et de trois livres : Transmettre pour construire (Pygmalion, 2010), Le bonheur regarde à droite (éditions du Cerf, 2014) et Le printemps des libertés (L’Archipel, 2016). A partir de 2018, il s’est consacré à faire connaître la figure d’Alexandre Soljenitsyne en jouant une pièce de théâtre autour du Discours d’Harvard prononcé par celui-ci en 1978. Il est maire de la ville de Crest (Drôme) depuis 1995, président du Conseil Franco-Britannique depuis 2019 et président de la Fédération des Entreprises d’Outre-mer (FEDOM) depuis 2021.

Gil Mihaely, directeur de la publication de Causeur

Diplômé en philosophie et en histoire de l’université de Tel-Aviv (Israël), Gil Mihaely est docteur en histoire de l’École des hautes études en sciences sociales (Paris). En 2007, il participe à la création, aux côtés d’Elisabeth Lévy, de Causeur, dont il le directeur de la publication. Depuis 2019, il est également directeur de publication des revue Conflits et Transitions & Energies.

Aude Mirkovic, porte-parole de Juristes pour l’enfance

Aude Mirkovic est docteur en droit, maître de conférences (HDR) à l’Université Paris-Saclay et porte-parole de Juristes pour l’enfance, ONG qui œuvre pour défendre et protéger les enfants sur le terrain juridique, au moyen du droit. Elle est également membre du Comité exécutif de la Déclaration de Casablanca, un groupe d’experts engagés à l’international en vue de l’avènement d’une Convention internationale pour l’abolition universelle de la gestation pour autrui. Elle est l’auteur de plusieurs essais comme PMA. Un enjeu de société (Artège 2019) et Questionnements de genre chez les enfants et adolescents (Artège 2022), et d’ouvrages divers comme le roman En rouge et noir (Première Partie, 2020).

Elizabeth Montfort, directrice de recherche à l’Institut Thomas More

Diplômée en droit et en philosophie, Elizabeth Montfort a été engagée dans la vie politique pendant trente ans : d’abord conseillère régionale d’Auvergne en 1998, puis député européen de 1999 à 2004, enfin adjointe au maire de Riom (Puy-de-Dôme) jusqu’en 2020. En 2007, elle fonde Nouveau Féminisme Européen, un institut d’analyse et de proposition sur l’implication des femmes dans le domaine familial, social, professionnel et politique. Au sein de l’Institut Thomas More, elle analyse les évolutions sociétales contemporaines qui touchent et transforment la famille, qu’il s’agisse de la politique familiale publique, des questions bioéthiques, de la PMA, de la GPA ou les études sur le genre. Elle est l’auteur de plusieurs livres dont La bioéthique entre confusion et responsabilité (collectif, François-Xavier de Guibert, 2002), Le genre démasqué. Homme ou Femme ? Le choix impossible, (Éditions Peuple libre, 2011), Le genre en question (Éditions Peuple libre, 2012) et L’enfant oublié. Propositions pour la famille de demain (collectif, Le Cerf, 2016).

Adrian Pabst, directeur adjoint du National Institute of Economic and Social Research (Londres)

Diplômé en sciences économiques de Cambridge et en pensée politique de la London School of Economics et de Sciences Po Paris, Adrian Pabst a obtenu un doctorat en philosophie politique à l’université de Cambridge. Il est directeur adjoint du National Institute of Economic and Social Research à Londres et professeur des universités en philosophie politique à l’Université du Kent (Angleterre) où il a été doyen de la Faculté des Sciences politiques et Relations internationales. Il a été professeur invité à Sciences Po Lille (2010-2015) et est membre du comité éditorial de la Revue politique et parlementaire. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, dont Radical orthodoxy. Pour une révolution théologique (Ad solem, 2004), The crisis of global capitalism : Pope Benedict XVI’s social encyclical and the future of political economy (Wipf & Stock, 2011), La politique de la vertu (avec John Milbank, éditions Desclée de Brouwer, 2018) et Postliberal Politics: The Coming Era of Renewal (Polity Press, 2021). Chroniqueur au New Statesman, il publie régulièrement dans Le Figaro, Marianne, L’Opinion, le Huffington Post et Les Échos.

Bertrand Picard, fondateur et CEO de Natural Grass

Diplômé de l’ESSEC Business School, Bertrand Picard a été associé chez Rothschild à Londres. En 2009, il fonde Natural Grass, leader mondial des pelouses hybrides pour les terrains de sport. Il développe en outre une activité d’investissement dans des entreprises à impact positif sur l’environnement et sur la société, comme la végétalisation urbaine et la viticulture. Il est par ailleurs mentor dans le Réseau Entreprendre Paris.

Christian Saint-Étienne, professeur au Conservatoire national des arts et métiers

Titulaire de deux masters en Sciences économiques, à la London School of Economics et l’université de Carnegie-Mellon, il est docteur d’État en Sciences économiques de l’université Panthéon-Assas ainsi que diplômé de l’ESCP Europe. Après avoir été chercheur en Sciences économiques à l’université de Carnegie-Mellon, il devient économiste pour le Fonds monétaire international (FMI). En 1984, il revient en France et devient administrateur à l’OCDE. De 1987 à 1995, il travaille pour le Crédit lyonnais, avant de fonder son propre cabinet de conseil spécialisé en analyse stratégique des marchés et conseil stratégique pour les entreprises patrimoniales. Depuis 2009, il est aussi titulaire de la chaire d’économie industrielle au Conservatoire national des arts et métiers où il enseigne. Il est l’auteur de nombreux ouvrages dont L’ambition de la liberté (Economica, 1998), La Puissance ou la mort. L’Europe face à l’empire américain (Seuil, 2003), La Fin de l’euro (François Bourin Éditeur, 2009), L’incohérence française (Grasset, 2012), France : état d’urgence (Odile Jacob, 2013), Osons l’Europe des nations (Éditions de l’Observatoire, 2018), Trump et Xi Jinping, le apprentis sorciers (Éditions de l’Observatoire, 2018) et Le libéralisme stratège face au chaos du monde (Odile Jacob, 2020).

Jean-Pierre Schaeken Willemaers, directeur de recherche à l’Institut Thomas More

Titulaire d’un Master en ingénierie électrique et mécanique, diplômé en physique et chimie nucléaire et bachelier en économie de l’Université de Louvain (Belgique), Jean-Pierre Schaeken Willemaers a commencé sa carrière comme enseignant à la faculté polytechnique de cette université et a ensuite rejoint le groupe Tractebel. Il a été membre du comité de direction de Tractebel Engineering. Il a ensuite été nommé Vice-Président exécutif et membre du comité de direction de Suez-Tractebel EGI (Electricity and gas international) et administrateur de Powerfin. En cette qualité, il était en charge des investissements en Europe, en Russie et au Moyen-Orient, dans les domaines de la production, de la transmission et de la distribution d’électricité ainsi que du stockage, du transport et de la distribution de gaz naturel par acquisition ou par développement de projets. Dans le cadre de ses fonctions, il a été Président ou administrateur de plusieurs filiales du groupe en Europe et en Asie centrale. Il a également été Vice-Président de la Chambre de Commerce de Bruxelles. En 2000, il a fondé un centre d’entreprises pour start-ups de haute technologie et en est toujours administrateur. Il est aujourd’hui administrateur de plusieurs entreprises industrielles. Il est l’auteur de nombreux ouvrages dont L’utopie du tout renouvelable (Académie royale de Belgique, 2017), Péril sur l’électricité belge (Texquis, 2018), L’avenir du système électrique européen (Technip, 2019), L’électricité nucléaire, une énergie du futur (L’Harmattan, 2021) et L’intelligence artificielle et l’énergie (L’Harmattan, 2023).

Françoise Thom, maître de conférences honoraire à l’Université Paris IV-Sorbonne

Historienne et soviétologue française, Françoise Thom a été maître de conférences en histoire contemporaine à l’Université Paris IV-Sorbonne jusqu’en 2018. Professeur agrégée de russe, elle a vécu trois ans en Union soviétique, avant d’enseigner la langue dans l’enseignement secondaire à Ferney-Voltaire et à Calais. Elle a ensuite travaillé à l’Institut Français de Polémologie avant d’obtenir un poste en tant que maître de conférences en histoire à l’Université de Paris-Sorbonne, établissement dans lequel elle est actuellement habilitée à diriger des recherches. Formée par Alain Besançon, elle a publié des ouvrages comme L’École des barbares (avec I. Stal, Julliard, 1985), La langue de bois (Julliard, 1987), Le moment Gorbatchev (Hachette, 1989), Les fins du communisme (Critérion, 1994), Le jour se lève : l’héritage du totalitarisme en Europe (sous la direction de S. Courtois, Le Rocher, 2006), Culture et guerre froide (collectif, éditions de la Sorbonne, 2008), Beria : le Janus du Kremlin (éditions du Cerf, 2013), Géopolitique de la Russie (avec J.-S. Mongrenier, PUF, 2016) et Comprendre le poutinisme (Desclée De Brouwer, 2018), La Marche à rebours. Regards sur l’histoire soviétique et russe (Sorbonne Université Presses, 2021) et Poutine ou l’obsession de la puissance (Litos, 2022).

Salomé Zourabichvili, présidente de la République géorgienne

Diplômé de l’IEP de Paris, Salomé Zourabichvili commence en 1974 une carrière diplomatique au sein du Ministère français des Affaires étrangères qui la mène notamment à Rome, aux Nations unies, à Bruxelles, à Washington. De 1996 à 1997, elle est conseiller technique au cabinet du ministre des Affaires étrangères. De 1998 à 2001, elle est sous-directrice des Affaires stratégiques à la Direction des affaires stratégiques, de la sécurité et du désarmement du ministère des Affaires étrangères. De 2001 à 2003, elle rejoint le poste de directrice des Affaires internationales et stratégiques au sein du Secrétariat général de la Défense Nationale. En 2003, elle est nommée ambassadeur de France en Géorgie. Fait exceptionnel dans l’histoire diplomatique, elle devient ministre des Affaires étrangères de Géorgie en 2004, poste qu’elle occupe jusqu’à novembre 2005. De 2005 à 2010, elle est engagée dans le combat politique et démocratique en Géorgie à la tête du parti « La Voie de la Géorgie ». En 2010, elle quitte la Géorgie et devient coordinatrice du Groupe d’experts du Comité des sanctions sur l’Iran du Conseil de sécurité des Nations unies. De retour en 2013, elle est élue députée en 2016. Elle est élue présidente de la République géorgienne en novembre 2018.

Jean-Thomas Lesueur, directeur général

Jean-Thomas Lesueur est titulaire d’un Master d’histoire moderne (Paris IV Sorbonne), où il a travaillé sur l’émergence de la diplomatie en Europe occidentale à l’époque moderne. Il a débuté sa carrière comme rapporteur de groupe de travail à l’Institut Montaigne avant de participer à la création de l’Institut Thomas More en 2004. D’abord directeur des Études, il est devenu directeur général en 2007. Au sein de l’équipe de l’Institut Thomas More, il supervise le suivi de la vie politique française. Depuis quelques années, il s’intéresse en particulier aux blocages politiques et institutionnels propres au « modèle français », à la décentralisation et à la démocratie locale. Il réfléchit également aux questions politiques liées aux enjeux culturels et identitaires en France et en Europe.

                           

Aymeric de Lamotte, directeur général adjoint

Titulaire d’un Master en droit européen et international de la Katholieke Universiteit Leuven et d’un Master spécialisé en droit économique des universités de Gand, Bologne et Varsovie (un programme de l’Union européenne, Erasmus Mundus), Aymeric de Lamotte est avocat au barreau de Bruxelles depuis 2015. Il défend, entre autres, de nombreuses personnes physiques et morales qui luttent contre le wokisme (décolonialisme, culture de l’annulation, théorie du genre, etc.) en Belgique francophone. Il siège dans l’opposition en tant que conseiller communal indépendant dans la commune de Woluwe-Saint-Pierre à Bruxelles. Il écrit régulièrement dans la presse belge et française, notamment dans La Libre Belgique et Le Figaro. Aymeric a rejoint l’équipe de l’Institut Thomas More pour accélérer son développement et renforcer son influence tant en Belgique qu’en France. Il dirige Justitia, le collectif d’avocats de l’Institut Thomas More qui offre une réponse juridique aux nouvelles intolérances.

                       

Laurent Amelot, directeur de recherche, directeur du programme Indo-Pacfique

Chine (politique étrangère) • Asie du Sud-est (Birmanie et sud de la Thaïlande) • Asie du Sud (Inde, Pakistan et Afghanistan) • Océan Indien • Hybridation des menaces

           

Selmin Seda Coskun, chercheuse associée

Turquie (système politique et politique étrangère) • Géopolitique de la Turquie • Géopolitique du monde turcophone • Géopolitique du Caucase et de l’Asie centrale • Guerre, conflit et sécurité

           

Cyrille Dalmont, directeur de recherche

Régulation et enjeux éthiques du numérique • Droits fondamentaux et libertés publiques • Souveraineté numérique

                              

Gilles Delafon, chercheur associé

Moyen Orient • Israël, Liban, États du Golfe • Politique étrangère américaine

                  

Gérard-François Dumont, membre du Conseil d’orientation

Démographie (France et Europe) • Migrations internationales • Décentralisation et gouvernance des territoires

                       

Hugues Eudeline, directeur de recherche

Enjeux géopolitiques maritimes • Géopolitique maritime duale (civile et militaire) de la Chine • Violences maritimes globales • Terrorisme maritime

            

Christian Flavigny, directeur de recherche

Famille • Enfance et adolescence • Questions bioéthiques, PMA, GPA

      

Marlène Giol, chercheuse associée

Jeunesse, engagement et lien social • Société civile et nouvelles solidarités • Sociologie politique, relations des citoyens à l’État et aux institutions • Analyse de la politique française

      

Martin Laï, assistant de recherche

Enjeux de défense européenne • Géopolitique de l’Europe • Europe orientale

                        

Aymeric de Lamotte, directeur général adjoint

Analyse de la politique belge et française • Droits fondamentaux et libertés publiques • Enjeux civilisationnels • Avenir institutionnel et politique de l’Union européenne et de la Belgique

                       

Jean-Thomas Lesueur, directeur général

Analyse de la politique française • Décentralisation, démocratie locale et société civile • Immigration et enjeux culturels et identitaires (France et Europe) • Avenir institutionnel et politique de l’Union européenne

                              

Jean-Sylvestre Mongrenier, directeur de recherche

Géopolitique de l’Europe •  Défense européenne et OTAN • Relations Russie-Europe • Politique européenne de voisinage (Est européen et Bassin méditerranéen)

            

Elizabeth Montfort, directrice de recherche

Famille et politique familiale • Questions bioéthiques, PMA, GPA • Etudes sur le genre

                  

Noé Morin, chercheur associé

Politique de la ville • Urbanisme • Politique du logement • Réflexion sur l’avenir des villes • Histoire et théorie de l’architecture • Politique du patrimoine

                  

Jérôme Pigné, chercheur associé

G5 Sahel • Politiques de l’UE et des Etats-Unis au Sahel • Nexus sécurité-développement

                  

Jean-Pierre Schaeken Willemaers, directeur de recherche

Énergie • Production, transport et distribution d’électricité • Transport et distribution de gaz • Combustibles conventionnels et alternatifs

      

Antonin Tisseron, chercheur associé

Sahel et Afrique de l’Ouest • Développement et sécurité • Lutte contre le terrorisme

            

Michel Vaté, chercheur associé

Économie et économétrie • Économie du risque • Assurance pour le développement

            

Julien Volper, chercheur associé

Politiques culturelles • Politiques mémorielles • Musées • Restitutions d’oeuvres et d’objets d’art • Trafic d’art